Vous trouverez ci-dessous un échantillon de citations que je trouve inspirantes. Avoir ces citations à portée de main m’a aidé à traverser de nombreux moments difficiles. Je vous encourage à compiler les citations qui vous guident, vous inspirent ou vous renforcent, quel que soit votre système de croyance. Si vous vous sentez poussé à partager vos citations préférées, veuillez les inclure dans un commentaire ci-dessous.
Dieu sera assurément avec celui qui se donne entièrement à lui ; il préservera de tout mal celui qui place toute sa confiance en lui et le protègera contre les complots des méchants. (Baha’u’llah, Florilège d’écrits de Bahá’u’lláh)
… que ton coeur ne craigne que Dieu seul. (Baha’u’llah, Florilège d’écrits de Bahá’u’lláh)
« Et s’il ne craint pas Dieu, Dieu le rendra craintif de tout ; alors que toutes choses craignent celui qui craint Dieu » (Baha’u’llah, Les sept vallées – Les quatre vallées)
Ne crains personne, place toute ta confiance en Dieu, le Tout-Puissant, l’Omniscient. (Baha’u’llah, Tablettes révélées après le Kitáb-i-Aqdas)
Ne perds jamais ta confiance en Dieu! Sois toujours pleine d’espérance, car les générosités divines ne cessent jamais de se déverser sur l’humanité. (Abdu’l-Baha, Sélection des écrits de ‘Abdu’l-Bahá, 178.2)
Sache que Dieu est avec toi en tout temps, qu’Il te protège des mutations et des hasards de ce monde… (Abdu’l-Baha, Sélection des écrits de ‘Abdu’l-Bahá, 91.1)
Ne vous troublez de rien, quelles que soient les circonstances. Soyez fermement ancrés, telles les hautes montagnes… (Abdu’l-Baha, Sélection des écrits de ‘Abdu’l-Bahá, 199.12)
Rien hormis ce qui peut leur être profitable ne peut advenir à mes bien-aimés… (Baha’u’llah, L’avènement de la justice divine)
Pour toute chose, il existe un signe. Le signe de l’amour est la fortitude face à mes décrets et la patience face à mes épreuves. (Baha’u’llah, Les paroles cachées 1.48)
Le monde n’est qu’une parade, futile et vide, un pur néant, une semblance de réalité. Ne mettez pas en lui vos affections. Ne brisez pas le lien qui vous unit à votre Créateur, ne soyez pas de ceux qui se sont écartés de ses sentiers pour errer loin de lui. En vérité, je vous le dis, le monde est semblable à ces mirages du désert que le voyageur altéré prend pour de l’eau et qu’il s’efforce d’atteindre jusqu’à s’apercevoir que c’est une pure illusion au moment où il y parvient. Le monde peut être encore comparé au portrait de la bien-aimée que l’amant trouve enfin après une longue quête et qui se révèle, à sa grande déception, incapable de « satisfaire ou d’apaiser sa faim ». (Baha’u’llah, Florilège d’écrits de Bahá’u’lláh 153)
Qu’à chaque soir succède un meilleur matin, que tout lendemain soit plus riche que la veille. Du service et de la vertu découle le mérite de l’homme, et non de l’étalage des biens et des richesses. (Baha’u’llah, Tablettes révélées après le Kitáb-i-Aqdas)
Quant à tes propres affaires, il serait louable de te satisfaire de ton sort quoi qu’il advienne. Il est tout à fait recommandable d’avoir une profession, car lorsqu’on travaille, on est moins souvent préoccupé par les aspects déplaisants de la vie. (Baha’u’llah, Tablettes révélées après le Kitáb-i-Aqdas 11.41)
En vérité, la chose la plus nécessaire est le contentement en toutes circonstances; il préserve des conditions morbides et de la lassitude. Ne cédez pas à la tristesse ni au chagrin: ils causent les plus grandes misères. La jalousie consume le corps et la colère brûle le foie; évitez-les comme vous éviteriez un lion. (Baha’u’llah, Baha’u’llah et l’ère nouvelle)
Si quelqu’un se met en colère contre vous, répondez-lui avec gentillesse, et si quelqu’un vous fait des reproches, abstenez-vous de les lui retourner, mais laissez-le face à lui-même et placez votre confiance en Dieu, le Vengeur omnipotent, le Seigneur de puissance et de justice. (Baha’u’llah, Kitáb-i-Aqdas 1.153)
La liberté conduit inéluctablement à la sédition dont nul ne peut étouffer les flammes. Ainsi vous prévient le Juge, l’Omniscient. Sachez que l’animal est l’incarnation et le symbole de la liberté. Ce qui convient à l’homme, c’est de se soumettre à ces contraintes qui le protégeront de sa propre ignorance et le garderont du mal causé par les semeurs de discorde. La liberté pousse l’homme à dépasser les limites de la bienséance et à porter atteinte à la dignité de sa condition. Elle l’abaisse au dernier degré de la dépravation et de la méchanceté. (Baha’u’llah, Kitáb-i-Aqdas 1.123)
La vie à venir est, en vérité, bien plus avantageuse pour toi et pour ceux qui suivent ta cause que cette vie terrestre et ses plaisirs. (Le Bab, Sélection des Écrits du Báb, 23.3)
Que vos pensées se concentrent sur votre propre développement spirituel, et fermez les yeux aux manquements des autres âmes. (‘Abdu’l-Bahá, Sélection des écrits de ‘Abdu’l-Bahá, 174.9)
Ô fils de l’existence ! Comment peux-tu oublier tes propres défauts et t’occuper de ceux d’autrui ? Qui agit ainsi, je le maudis. (Baha’u’llah, Les paroles cachées, 1.26)
Car la foi de tout homme ne dépend de personne autre que lui-même. (Baha’u’llah, Florilège d’écrits de Bahá’u’lláh, 75.2)
Ô fils de lumière ! Oublie tout sauf moi et communie avec mon Esprit. Telle est l’essence de ma cause. Suis-la.(Baha’u’llah, Les paroles cachées, 1.16)
Ne vous querellez avec personne et évitez toute forme de conflit. (‘Abdu’l-Bahá, Sélection des écrits de ‘Abdu’l-Bahá, 184.5)
Désormais, chacun devrait exprimer ce qui est bien et convenable et devrait s’interdire les calomnies, les insultes et tout ce qui provoque la tristesse chez l’homme. (Baha’u’llah, Kitáb-i-Aqdas 9.37)
… l’homme devrait se connaître lui-même et reconnaître ce qui mène à la grandeur ou à la bassesse, à la gloire ou à l’avilissement, à la richesse ou à la pauvreté. Lorsqu’il atteint son état de plénitude, sa maturité, l’homme a besoin de richesses. Les acquérir par son art ou sa profession est bon aux yeux des sages et particulièrement aux yeux des serviteurs se consacrant à l’éducation du monde et à l’édification de ses habitants. (Baha’u’llah, Tablettes révélées après le Kitáb-i-Aqdas, 4.7)
Considérez l’amour et la camaraderie comme les délices du ciel, l’hostilité et la haine comme les tourments de l’enfer. (‘Abdu’l-Bahá, Sélection des écrits de ‘Abdu’l-Bahá, 200.20)
La sincérité et l’amour vaincront la haine. (Causeries d’Abdu’l-Bahá à Paris, 6.12)
Les épreuves sont des bienfaits de Dieu pour lesquelles nous devrions Lui être reconnaissants. Les chagrins et les afflictions ne nous atteignent pas par hasard; ils nous sont envoyés par la divine miséricorde pour notre propre perfectionnement. (Causeries d’Abdu’l-Bahá à Paris, 14.6)
Que l’homme connaisse Dieu est la raison suprême de la création et de tout ce qui s’y trouve. (Baha’u’llah, Tablettes révélées après le Kitáb-i-Aqdas, 17.23.2)
Tous les hommes ont été créés pour travailler au développement incessant de la civilisation. (Florilège d’écrits de Bahá’u’lláh, 109.2)
« Quel est le but de notre vie ? » ‘Abdu’l-Bahá : « Pour acquérir des vertus. (Paris Talks, traduction provisoire)
Le principe fondamental que Dieu a fixé comme but pour l’homme c’est l’amour, et Il nous a demandé de nous aimer les uns les autres comme Il nous aime. (Causeries d’Abdu’l-Bahá à Paris, 39.21)
Dans le futur, on assistera à une extrême dégénérescence des moeurs. Il est donc essentiel que les enfants soient élevés selon les principes bahá’is et qu’ainsi, ils puissent trouver le bonheur à la fois en ce monde et dans l’autre; sinon, ils seront assaillis d’afflictions et de désagréments, car le bonheur humain est fondé sur un comportement spirituel. (‘Abdu’l-Bahá, Sélection des écrits de ‘Abdu’l-Bahá, 100.2)
Si nous ne sommes pas heureux et joyeux en cette saison, quelle autre saison devons-nous attendre et quel autre temps devons-nous chercher ? (Abdu’l-Baha, Baha’i World Faith, traduction provisoire)
Concentrez vos pensées sur le Bien-Aimé plutôt que sur vous-mêmes. (Florilège d’écrits de Bahá’u’lláh, 85.2)
il faut entendre par abandon et union perpétuelle à Dieu, que les hommes doivent fondre complètement leur volonté dans la volonté de Dieu et considérer leurs propres désirs comme pur néant devant son dessein. (Florilège d’écrits de Bahá’u’lláh, 160.2)
Avoir confiance en Dieu, être soumis à son commandement, acquiescer à sa sainte volonté et à son bon plaisir, voilà la source de tout bien. (Baha’u’llah, Tablettes révélées après le Kitáb-i-Aqdas, 10.1)
Dans les trésors de la connaissance de Dieu gît, caché, un savoir [nota : selon Shoghi Effendi, ce savoir n’a pas été révélé] qui éliminera en grande partie la peur, lorsqu’il sera appliqué. Toutefois, ce savoir devrait être enseigné dès l’enfance, car il contribuerait grandement à cette élimination. Tout ce qui diminue la peur accroît le courage. (Baha’u’llah, Épître au fils du Loup, 57)
Clarifiez votre vue de telle sorte que vous puissiez percevoir sa gloire de vos propres yeux, sans dépendre à cet égard d’aucun autre que de vous-même, car Dieu n’a jamais chargé aucune âme au-delà de ce qu’elle pouvait supporter. (Florilège d’écrits de Bahá’u’lláh, 52.5)
Il ne faut voir, en chaque être humain, que ce qui est digne de louange. C’est à cette condition que l’on peut devenir ami de la race humaine tout entière. Si, toutefois, nous considérons nos semblables sous l’angle de leurs défauts, alors notre attitude amicale à leur égard devient une tâche redoutable. (‘Abdu’l-Bahá, Sélection des écrits de ‘Abdu’l-Bahá, 144.2)
Cependant, les vaniteux n’accepteront pas d’être guidés. Ils seront privés de la Vérité, certains en raison de leur savoir, d’autre à cause de leur gloire et de leur pouvoir, et d’autres encore pour des raisons qui leur sont propres, et dont aucune ne leur sera utile à l’heure de la mort. (Sélection des Écrits du Báb, 91.4)
Bientôt prendront fin vos Jours éphémères. La renommée, les richesses, les consolations et les joies de ce monceau de décombres, le monde, se seront évanouies sans laisser de traces. (‘Abdu’l-Bahá, Sélection des écrits de ‘Abdu’l-Bahá, 1.18)
« Il n’est de pouvoir ou de force qu’en Dieu seul ». « Nous appartenons à Dieu et à Dieu nous retournerons. » (Baha’u’llah, Livre de la certitude, 279)
Or il est certain que la spiritualité vaincra le matérialisme, que le céleste soumettra l’humain et que, par l’éducation divine, les masses du genre humain, dans l’ensemble, progresseront à grands pas à tous les niveaux de l’existence – sauf ceux qui sont aveugles, sourds, muets et morts. (‘Abdu’l-Bahá, Sélection des écrits de ‘Abdu’l-Bahá, 160.12)
« Où est le paradis ? Où est l’enfer ? » Dis : « Le premier est d’être uni à moi ; le second est ton propre ego… » (Baha’u’llah, Tablettes révélées après le Kitáb-i-Aqdas, 8.35)
Selon les croyants en l’unité divine, il n’y a pas de paradis plus exalté que d’obéir aux commandements de Dieu, et il n’y a pas de feu plus ardent, aux yeux de ceux qui ont connu Dieu et ses signes, que de transgresser ses lois et d’opprimer une autre âme, même dans la mesure d’un grain de moutarde. (Sélection des Écrits du Báb, 71.1)
Cependant, la manifestation du potentiel dont vous êtes dotés dépend uniquement de l’exercice de votre propre volonté. (Florilège d’écrits de Bahá’u’lláh, 77.1)
La nature est inerte, l’homme progresse. La nature n’a pas de conscience, l’homme en est doté. La nature n’a pas de volonté et agit par force tandis que l’homme possède une volonté puissante. La nature est incapable de découvrir des mystères ou des réalités tandis que l’homme est particulièrement apte à le faire. La nature n’a pas de contact avec le royaume de Dieu, l’homme s’accorde avec ses évidences. La nature n’est pas informée de Dieu, l’homme en est conscient. L’homme acquiert des vertus divines, la nature en est privée. L’homme peut renoncer volontairement aux vices, la nature n’a pas le pouvoir de modifier l’influence de ses instincts. Il est tout à fait évident que l’homme est plus noble et supérieur, qu’il y a en lui un pouvoir idéal qui surpasse la nature. Il possède conscience, volonté, mémoire, force, intelligence, vertus et attributs divins dont la nature est totalement privée, dépouillée et dénuée; l’homme est donc plus grand et plus noble en raison de la force idéale et céleste qui est latente et manifeste en lui. (Abdu’l-Baha, Les bases de l’unité du monde, 20.18 – 20.22)
Vous êtes les fruits d’un seul arbre, les feuilles d’une seule branche. En vérité, je vous le dis, tout ce qui conduit au déclin de l’ignorance et participe à la connaissance était et sera toujours acceptable aux yeux du Seigneur de la création. Dis : Ô peuple ! Cheminez à l’ombre de la justice et de la véracité, et abritez-vous sous le tabernacle de l’unité. (Baha’u’llah, Le tabernacle de l’unité, 1.15)
Sans la souffrance, coursier de cette vallée (NB la vallée de l’amour), le voyage n’aurait pas de fin. Baha’u’llah, Les sept vallées – Les quatre vallées, 1.17)
Considérez l’amour et la camaraderie comme les délices du ciel, l’hostilité et la haine comme les tourments de l’enfer. (Sélection des écrits de ‘Abdu’l-Bahá, 200.20)